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Zoom sur les diagnostics obligatoires

Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

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N’hésitez pas à faire appel à Activ Expertise : leurs conseils sont de qualité, et leur équipe est réactive et professionnelle.

Robert C.

Très satisfait du technicien et du service fourni, excellent à tous points de vue.

Jean-François D

Très bon travail d’un vrai professionnel

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À LA UNE
Le DPE perd-il en crédibilité avec la nouvelle méthode de calcul électrique
06 Août 2025

Le DPE perd-il en crédibilité avec la nouvelle méthode de calcul électrique

Une modification majeure dans l’évaluation de la performance énergétiqueLe gouvernement vient d’annoncer une révision significative du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) : le coefficient appliqué à l’électricité pour convertir l’énergie finale en énergie primaire va passer de 2,3 à 1,9 à partir du 1er janvier 2026. Cette mesure s’inscrit dans la continuité de directives européennes et prend en compte l’évolution du mix énergétique français, notamment la part croissante des énergies renouvelables dans la production d’électricité. Cependant, elle ne laisse pas le secteur indifférent.Des conséquences concrètes pour les ménages et les bailleursBien qu’il paraisse technique, ce changement va avoir des répercussions très concrètes sur le parc immobilier français. Cette nouvelle règle va automatiquement améliorer la note DPE des logements utilisant le chauffage électrique, et cela sans qu’aucune rénovation n’ait été nécessaire. Concrètement, environ 850 000 logements quitteraient la catégorie des passoires thermiques uniquement par une modification du mode de calcul, sans réelle progression de leurs performances énergétiques.Cet ajustement pourrait créer une déconnexion entre la classe affichée sur le DPE et les dépenses énergétiques réelles rencontrées par les occupants, qui, elles, restent calculées en énergie finale. La confiance envers cet outil de mesure pourrait s’en voir affectée, et les investisseurs pourraient se retrouver moins incités à entreprendre des travaux, puisque leurs biens verraient leur étiquette s'améliorer sans intervention.Un risque de focalisation excessive sur l’électricitéCette décision pourrait également orienter excessivement les futurs choix énergétiques vers l’électricité, au détriment d’autres solutions qui conjuguent performance et complémentarité, telles que les pompes à chaleur hybrides, les chaudières utilisant du biogaz ou les systèmes intégrés à une boucle d’eau chaude collective. Ce recentrage pourrait nuire à la diversité des solutions de rénovation énergétique et limiter les stratégies plus globales et ambitieuses de transition écologique.Les professionnels du secteur expriment leurs inquiétudesDe nombreux acteurs du bâtiment, à l’image de la CAPEB, expriment leur préoccupation face à ce changement. Selon eux, cela pourrait désavantager les artisans et entreprises qui promeuvent des rénovations complètes et efficaces. Les ménages risquent également de perdre leurs repères, dans un contexte où la compréhension des outils d’évaluation est essentielle pour la planification de travaux.Il existe aussi un risque que la dynamique de décarbonation du parc immobilier, visée par la Stratégie Nationale Bas Carbone, s’affaiblisse si les investissements dans la rénovation énergétique ralentissent.Imaginer un avenir plus lisible et plus équitable pour la rénovation énergétiquePour que la rénovation énergétique puisse garder son élan, il est fondamental que le DPE demeure une référence claire, fidèle à la réalité et compréhensible pour tous, tant pour les usagers que pour les professionnels du secteur. Une réévaluation partagée et approfondie s’impose avant de valider de tels changements, afin de préserver la confiance dans l’outil et garantir l’efficacité et l’équité des politiques de rénovation.Les experts du secteur s’engagent à continuer d’accompagner tous les acteurs dans cette transition, avec rigueur, pédagogie et implication, pour un avenir énergétique durable et réellement bénéfique pour tous.

Loi Boutin ou Carrez quand la surface habitable diffère
15 Juillet 2025

Loi Boutin ou Carrez quand la surface habitable diffère

Loi Boutin et loi Carrez : que mesurent-elles exactement ?Les règles entourant la location et la vente de biens immobiliers imposent des normes précises concernant la surface indiquée aux futurs locataires ou acquéreurs. Deux textes principaux organisent ces obligations : la loi Boutin et la loi Carrez. Chacune d’elles répond à des cas différents et utilise des méthodes de calcul distinctes, ce qui explique pourquoi la surface annoncée peut varier selon la réglementation appliquée.La surface habitable selon la loi BoutinAdoptée en 2009 dans le cadre d’une politique visant à améliorer l’accès au logement, la loi Boutin protège les personnes louant un bien en imposant la mention d’une surface habitable dans le contrat de location. Ce diagnostic correspond à une évaluation précise des espaces consacrés à l’habitation, à exclure certains éléments du calcul.On ne prend en compte que les pièces à usage d’habitation comme les chambres, le salon, la salle à manger, la cuisine ou la salle de bain.Les combles seulement s’ils sont formellement aménagés sont inclus.La législation précise que pour être considéré comme pièce principale : la superficie de plancher doit faire au moins 9 m² et la hauteur sous plafond être d’au moins 2,20 m, ou disposer d’un volume habitable supérieur à 20 m³.Sont exclus : murs, escaliers, cloisons, caves, garages, vérandas, balcons et surfaces non closes.Cela assure un calcul tourné exclusivement vers la vie quotidienne des locataires, avec la volonté d’exclure tout espace non destiné à cet usage.La superficie privative avec la loi CarrezIssue de la réglementation de 1996, la loi Carrez concerne les ventes de logements en copropriété. Elle vise à fournir à l’acquéreur potentiel une indication fiable de la “surface privative”, c’est-à-dire des espaces fermés accessibles et propres à l’usage du propriétaire.Sont pris en compte : toutes les pièces, mais aussi les greniers, remises, vérandas et combles (même non aménagés), dès lors que la hauteur sous plafond atteint au moins 1,80 mètre.Les caves, garages, emplacements de parking ainsi que les extérieurs comme balcons, terrasses ou loggias sont exclus du mesurage.Le calcul selon Carrez englobe donc certains espaces qui ne figurent pas dans la notion de surface habitable, ce qui peut aboutir à une surface supérieure à celle obtenue avec la méthode Boutin.Différences majeures entre les deux méthodesLa principale distinction réside dans leur finalité et dans la prise en compte, ou non, d’espaces annexes et de la hauteur sous plafond. En résulte souvent un écart de mètres carrés entre une même habitation soumise à ces deux règlements. Pour la location, c’est la surface habitable au sens de la loi Boutin qui est reportée sur le bail. Pour la vente d’un bien en copropriété, la superficie privative doit être calculée selon la loi Carrez et renseignée dans l’acte de vente.Autre particularité, seule la loi Carrez exige de mentionner la surface même pour des locaux non aménagés, à condition qu’ils répondent au critère de hauteur minimum. À l’inverse, la loi Boutin s’intéresse exclusivement à l’espace réellement utilisable pour vivre.Recourir à un professionnel du mesurageLes différences entre ces mesures peuvent prêter à confusion, d’où l’intérêt de faire appel à un spécialiste du diagnostic immobilier. Le recours à un diagnostiqueur qualifié garantit la justesse du calcul selon la législation appropriée, qu’il s’agisse de compléter un dossier de location ou de préparer la mise en vente d’un logement en copropriété. Assurez-vous de choisir un professionnel reconnu pour éviter toute erreur pouvant avoir des conséquences sur la validité du contrat.

Les secrets d'un diagnostic immobilier fiable
17 Juin 2025

Les secrets d'un diagnostic immobilier fiable

Lorsque l'on pense à un diagnostiqueur immobilier, on imagine souvent une personne armée de son télémètre et de ses rapports. Toutefois, les coulisses de ce métier révèlent des enjeux bien plus complexes, notamment en termes de temps et d'investissement financier pour offrir des diagnostics à la fois précis et conformes.Surveillance des certifications professionnellesLes certifications des diagnostiqueurs immobiliers dans des domaines tels que la performance énergétique, l'amiante ou le plomb sont régulièrement contrôlées. En effet, un organisme certificateur accrédité effectue une vérification tous les 12 à 18 mois. Cette procédure vise à s'assurer de la compétence du professionnel, de l'état de son matériel, de l'exactitude de ses rapports et de sa conformité aux normes en vigueur.Coûts associés à la conformitéCette surveillance n'est pas sans coût. Les audits, les entretiens et les vérifications documentaires engendrent des dépenses significatives, oscillant entre 500 et 1500 euros pour chaque domaine et par cycle de vérification.Autres investissements nécessairesAcquisition et entretien du matérielFormations obligatoires pour rester à jourAchat et mise à jour de logiciels professionnelsAssurances responsabilité civile professionnelleÉtalonnage du matériel pour garantir la précisionCes divers investissements expliquent pourquoi un diagnostic immobilier à bas prix peut cacher des risques importants. Il est crucial de comprendre que la qualité d'un diagnostic repose sur un travail de fond méticuleux et indispensable.Un engagement au service de la qualitéEn fin de compte, ce qu'un diagnostiqueur propose n'est pas simplement un document numérique. Il s'agit d'un engagement en matière de qualité, validé et contrôlé avec rigueur, afin de garantir des rapports fiables et conformes aux attentes réglementaires.